Appel aux dons – Académie Notre Europe

La Conférence Jacques Delors vient de réaliser sa 3ème édition. Avec plus de 300 participants, cette journée clôturait le parcours annuel de formation à la citoyenneté européenne dédié aux 18-30 ans : l’Académie Notre Europe. Lancé il y a six ans par l’Institut Jacques Delors, sous l’impulsion de son président, Enrico Letta, l’Académie a accueilli pour cette année 2022/2023 plus de 100 jeunes d’horizons très divers. Ce sont aussi plus de 20 nationalités représentées au sein de cette promotion, qui s’est donné le nom de la journaliste, féministe et européenne convaincue Louise Weiss.L’objectif de l’Académie Notre Europe est non seulement de permettre aux jeunes de comprendre « l’Europe comme elle se fait », selon la devise de cette formation, mais aussi de vivre une expérience de civisme européen. Les jeunes de l’Académie participent à des débats avec des décideurs et experts sur les questions européennes, visitent les institutions européennes à Bruxelles, participent à des ateliers et des jeux de simulation et s’engagent dans des projets pédagogiques sur l’Europe.Les candidatures pour rejoindre la 7ème promotion de l’Académie, qui sera lancée en septembre prochain, sont ouvertes jusqu’au 18 juin. Un soutien financier de votre part* nous permettra de poursuivre et développer nos activités. Votre générosité nous est essentielle pour continuer à informer et sensibiliser les jeunes, non seulement ceux qui participent directement à l’Académie mais aussi au-delà, tous ceux que ses activités touchent, notamment grâce aux nombreux projets pédagogiques menés par les jeunes dans le cadre de leur formation (infographies, vidéos, podcasts, animation de débats, interventions dans des établissements scolaires). Nous sommes déjà plein d’idées et de projets à porter pour 2023/2024, année pendant laquelle il sera particulièrement important de mobiliser la jeunesse en vue des élections européennes ! By Sofia Fernandes Directrice de l’Académie Notre Europe et Sébastien Maillard Directeur de l’Institut Jacques Delors.

L’Académie Notre Europe, le vivier d’idées nouvelles sur l’Europe

L’Institut Jacques Delors ouvre les inscriptions pour la deuxième année de l’Académie Notre Europe, un parcours citoyen à destination des jeunes (pour qui il est gratuit) de 18 à 30 ans, et des journalistes, de tous horizons, comprenant des conférences, des rencontres, des séminaires, des cafés-culture, des déjeuners-débats, des ateliers et des voyages, en présence de grands témoins, praticiens et experts de la construction européenne. L’Académie est un lieu d’échange et de débat, qui respecte la pluralité des opinions, y compris les plus critiques à l’égard de l’UE.Plus qu’une formation, l’Académie Notre Europe se veut, grâce à la participation active de ses membres, un vivier d’idées nouvelles pour l’Europe, loin de la bulle bruxelloise. C’est pour cela que nous sélectionnons des jeunes et des journalistes d’horizons divers, aux parcours les plus variés, sans condition de diplôme ni de connaissances spécifiques sur les affaires européennes.Les sessions ont lieu un seul vendredi par mois à Paris, de novembre à juin, ce qui permet à celles et ceux qui suivent une autre formation ou qui travaillent, de suivre plus aisément les travaux de l’Académie.La première année de l’Académie, qui vient de se clore, a été riche en échanges et en idées nouvelles. Une trentaine de jeunes et une dizaine de journalistes aux profils très divers, ont eu l’opportunité de débattre avec des experts et des décideurs au cœur des politiques européennes et nationales dont :
Enrico Letta, ancien président du Conseil italien, doyen de l’École des affaires internationales de Sciences Po, président de l’Institut Jacques Delors
Pascal Lamy, ancien directeur général de l’OMC, président emeritus de l’Institut Jacques Delors
Herman van Rompuy, premier président du Conseil européen et du sommet de la zone euro
Franz Neueder, représentant Europe – Allemagne
Michael Roth, secrétaire d’État aux affaires européennes – Allemagne
Nathalie Loiseau, secrétaire d’État aux affaires européennes – France
Christoph Wolfrum, négociateur du Brexit – Allemagne
Franziska Brantner, députée BÜNDNIS 90/DIE GRÜNEN au Deutscher Bundestag
Pervenche Berès, groupe de l’Alliance progressiste des socialistes et démocrates
Laszlo Andor, ancien commissaire européen à l’emploi
Olivier Bailly, chef de cabinet de Pierre Moscovici
Joaquin Almunia, ancien Vice-Président de la Commission européenne
Jonathan Faull, ancien Directeur général de la Commission européenne, ancien chef de la task force chargée des questions stratégiques liées au référendum britannique. Et beaucoup d’autres.

Voyage à Bruxelles: Venez découvrir l’Académie Notre Europe!

Bruxelles. L’Institut Jacques Delors a lancé le 10 novembre 2017 l’Académie Notre Europe, un programme de formation, d’échange et de partage de connaissances sur les politiques européennes. Son ambition est de mettre à disposition des participants – des jeunes, de 18 à 26 ans, et des journalistes – l’expertise sur les sujets européens et le vaste réseau d’experts et de décideurs de haut niveau que l’Institut Jacques Delors développe depuis plus de 20 ans. Dans cette optique, l’Institut a également souhaité que la formation soit émaillée de rencontres et visites in situ des institutions et des acteurs européens afin de permettre un dialogue privilégié entre participants et praticiens des affaires européennes.À quelques mois de l’ouverture des inscriptions pour l’année 2018/2019, nous sommes heureux de vous inviter à participer au premier voyage de l’Académie Notre Europe les 25 et 26 janvier 2018 à Bruxelles afin de vous en faire découvrir le fonctionnement, les activités, ses participants et vous donner un aperçu de cette toute nouvelle expérience européenne.Des rencontres avec des décideurs européens de haut niveau, des experts et des correspondants à Bruxelles sont au programme (que vous trouverez sur ce lien). Nous ne demandons aucune participation financière mais seulement de prendre en charge vos frais de déplacements et d’être à Bruxelles le 25 janvier à 9h30 et au moins jusqu’au lendemain à 18h30.

Création de l’Académie Notre Europe – Institut Jacques Delors

Paris. L’Institut Jacques Delors, le think tank européen fondé en 1996 par l’ancien Président de la Commission européenne et présidé par Enrico Letta, doyen de l’École des affaires internationales de Sciences Po et ancien Premier Ministre italien, crée l’Académie Notre Europe – Institut Jacques Delors. L’Académie est un lieu de formation, d’échange et de partage de connaissances sur les politiques européennes. Son ambition est de mettre à disposition de jeunes et de professionnels, l’expertise sur les sujets européens et le vaste réseau d’experts et de décideurs de haut niveau que l’Institut Jacques Delors développe depuis plus de 20 ans.
Ce projet entre dans les missions d’information et de formation tout au long de la vie chères au Président fondateur de l’Institut. En cette première année l’Académie s’adresse à deux publics et s’ouvrira à d’autres dans les années à venir. La formation pour l’année 2017/2018 est réservée :
1. Aux journalistes non-initiés aux affaires européennes, qui auront accès à des échanges avec des experts et des protagonistes de la construction européenne grâce à des modules conçus à cet effet.
2. Aux jeunes entre 18 et 26 ans qui bénéficieront gratuitement des cours avec des intervenants de très haut niveau.
C’est au travers de rencontres avec des experts des affaires européennes et des décideurs, ainsi que de voyages à Bruxelles, Strasbourg, Rome ou Berlin, que les participants de l’Académie Notre Europe – Institut Jacques Delors pourront acquérir une connaissance plus aiguë et débattre de la construction européenne et de son avenir tout en tissant des liens pérennes entre eux. «Un vent nouveau souffle sur l’Europe et nous sommes déterminés à mettre toute notre énergie, nos connaissances et notre influence au service de ce momentum qui s’annonce positif pour l’UE » – explique Enrico Letta, initiateur du projet. « L’élection d’Emmanuel Macron, dont la campagne résolument pro-européenne a été une nouveauté et une réussite, a profondément renouvelé la politique française. Nous souhaitons accompagner ce renouveau et contribuer à la formation d’une nouvelle classe dirigeante pro-européenne, préparée et capable de faire face à la complexité des défis que traverse l’Europe. Une classe dirigeante jeune, avec des idées novatrices et l’enthousiasme nécessaire pour refonder le projet européen ». Parmi les intervenants de l’Académie on retrouve d’anciens Commissaires européens, des dirigeants d’organisations internationales ainsi que des anciens ministres ou des décideurs européens et nationaux de haut niveau.Pour sa première année l’Académie accueillera un groupe d’environ 20 journalistes et 20 jeunes.
Les candidatures peuvent être soumises via un formulaire sur http://www.academienotreeurope.eu du 12 juillet 2017 jusqu’au 10 septembre 2017. La formation se tiendra d’octobre 2017 à mai 2018.Le cursus adressé aux jeunes de 18 à 26 ans aura lieu à raison d’un vendredi par mois dans les locaux de l’Institut Jacques Delors à Paris.
Les modules réservés aux journalistes seront d’une durée de 4 heures un vendredi par mois dans les mêmes locaux.Enrico Letta sera l’invité de la matinale de France Inter le mercredi 12 juillet de 8h20 à 9h pour présenter l’Académie Notre Europe – Institut Jacques Delors. (Nicolò Conti)

Why we should believe in European defence

Guest speaker of the 5th edition of the “Ateliers de la Citadelle”, entitled “Europe without defence? Crises and Perspectives for the Common Security and Defence Policy”, organised by the City of Lille and the Mission Lille Eurométropole défense et sécurité (LEDS) in partnership for the first time with Notre Europe – Jacques DelorsInstitute and Toute l’Europe, on 9 October 2014, Elisabeth Guigou, president of the Foreign affairs committee at the French National Assembly, calls the member states to engage in the European defence.
Her speech scrutinises:
1. the current alarmist framework calling Europeans to take their responsabilities,
2. fifty years on the roller coaster of the European defence,
3. promising initiatives taken since the European Council of December 2013,
4. an increasing European awareness of security challenges provoked by the crisis, to finally conclude by advocating that the European credibility will more than ever rely on the member states’ capacity to be serious in matters of defence.(photo: notre europe)

Border control and the right of Asylum: Where is the EU heading?

Ending at the end of the year, the Stockholm Programme 2009-2014 closes a period of three five-year programmes (Tampere 1999-2004 and The Hague 2004-2009) defining EU’s strategic orientations in the fields of justice liberty and security, including asylum and immigration.
While the 26-27 June 2014 European Council will set the new strategic guidelines for the period 2014-2020, what is at stake in the field of border control and asylum?In this context, the Policy Paper of Corinne Balleix presents:
1. A state of play of what has been implemented at the EU level in the fields of border control and right of asylum;
2. An assessment of solidarity mecanisms between mMember states;
3. Recommendations to meet the challenges of the post-Stockholm programme: reconciling the increasing externalisation of the EU migration policy and the preservation of the right of asylum. (notre europe)

Notre Europe

The recent reform of the European economic governance has helped to foster the perception that Europe is impinging on the sphere of national sovereignty. It is certainly true that member states have established a framework of common action at the European level in an effort to ensure the stability of the common monetary area in which a supranational monetary policy exists side by side with budgetary and economic policies based on the nation state. Yet apart from the countries benefiting from an aid programme, the countries in the euro area remain free to pursue their own national preferences. This Policy paper sets out to clarify the powers held by the European institutions in connection with the conduct of national fiscal, economic and social policies. It presents four points:
1. The new status of “countries benefiting from aid programmes” fuels the image of a Europe governing its member states, yet such a situation is limited in both time and space;
2. The fiscal discipline required of member states translates into an obligation to achieve a result (avoiding public deficits) but it does not impose obligations on member states concerning the means by which that result is achieved;
3. The new macro-economic surveillance procedure does not allow the European institutions to dictate their economic and social choices to member states;
4. The coordination of member states’ economic and social policies rests on political incentive, and recommending is not the same things as ordering.
La récente réforme de la gouvernance économique européenne a contribué à renforcer la perception que l’Europe restreint le champ des souverainetés nationales. Il est certes vrai que les États membres ont établi au niveau européen un cadre d’action commun, visant à garantir la stabilité de la zone monétaire commune, où coexistent une politique monétaire supranationale et des politiques budgétaires et économiques reposant sur l’État nation. Néanmoins, à l’exception des « pays sous-programme », les pays de la zone euro restent libres de leurs préférences nationales. Ce Policy paper vise à clarifier les pouvoirs des institutions européennes dans la conduite des politiques budgétaire, économique et sociale nationales et est structuré autour de quatre points :
1. Le nouveau statut des « pays sous-programme » nourrit l’image d’une Europe qui gouverne ses États membres ; néanmoins cette situation est limitée géographiquement et temporairement ;
2. La discipline budgétaire requise aux États membres se traduit par une obligation de résultats – éviter les déficits publics – mais non de moyens ;
3. La nouvelle procédure de surveillance macroéconomique ne permet pas aux institutions européennes de dicter leurs choix économiques et sociaux aux États membres ;
4. La coordination des politiques économiques et sociales des États membres repose sur l’incitation politique ; et recommander n’est pas commander.

Le pouvoir aux citoyens : conditions d’un espace public européen?

Notre Europe – Institut , en partenariat avec EuroCité et Europartenaires, a organisé le sixième séminaire du cycle “Espace public européen : en route vers les élections européennes” autour du thème “Le pouvoir aux citoyens : conditions d’un espace public européen ?”. Claire Versini, chargée de projet à Notre Europe – Institut Jacques Delors, synthétise ce séminaire autour de trois points principaux :
1. Donner le pouvoir aux citoyens, une réponse institutionnelle au déficit démocratique?
2. Prendre le pouvoir : un véritable parcours du combattant pour les citoyens
3. Ni populisme, ni technocratie : comment communiquer pour donner aux citoyens les moyens de construire un espace public européen ?
Après une introduction de Renaud Soufflot de Magny, chef adjoint de la représentation de la Commission en France, revenant sur les modalités d’expression d’ores et déjà existantes, et la nécessité d’améliorer la dimension participative des outils mis à la disposition des citoyens européens, Nicolas Leron, président d’EuroCité, a modéré un débat entre Sandrine Bélier, députée européenne Verts/ALE et Anne-Marie Perret, présidente de la Fédération syndicale des services publics et présidente du comité des citoyens de l’Initiative citoyenne européenne “Right 2 Water”. Notre Europe – Institut Jacques Delors, Eurocité et Europartenaires remercient la Représentation de la Commission européenne en France d’accueillir ce cycle.

Comment rendre l’UE plus démocratique ?

Notre Europe logo (Photo credit: Wikipedia)

“Synthèse par Virginie Timmerman Texte intégralTexte intégral Cette synthèse de Virginie Timmerman reprend les conclusions de la table ronde organisée par EuroCité, Europartenaires et Notre Europe – Institut Jacques Delors le 16 septembre 2013 sur le thème “« Démocratiser les affaires européennes ». Cette table ronde, modérée par Jean-Noël Jeanneney, président d’Europartenaires, rassemblait :– Sylvie Goulard, députée européenne, Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe;- Sandro Gozi, député italien, membre du parti démocrate;  – Yannick Jadot, député européen, Groupe des Verts / Alliance libre Européenne.

Renforcer la place de l’Europe dans le monde

Cette synthèse de Giorgio Garabsasso reprend les éléments clés de la table ronde intitulée « Renforcer la place de l’Europe dans le monde » au cours de laquelle ont été abordés les défis et priorités de la politique extérieure de l’UE, la nécessité du renforcement de cette dernière face aux bouleversements des équilibres géopolitiques, et enfin le besoin de renouveau du projet européen en la matière.
Ce débat, modéré par Nicolas Leron, Président d’Eurocité, a rassemblé :
– Elisabeth Guigou, Présidente de la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale, Présidente fondatrice d’Europartenaires, ancienne ministre et membre du CA de Notre Europe – Institut Jacques Delors.
– Bernard Guetta, Chroniquer de politique internationale à France Inter
– Pascal Lamy, Ancien directeur général de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC), Président d’honneur de Notre Europe – Institut Jaques Delors
– Bernadino Leon, Représentant spécial de l’UE pour la région du Sud de la Méditerranée
Cette table ronde a eu lieu dans le cadre de la conférence intitulée « Élections européennes de 2014 : le débat, c’est maintenant ! » organisée par Notre Europe – Institut Jacques Delors, Eurocité et Europartenaires le 16 septembre 2013 à Paris, et qui a abordé les principaux enjeux des élections européennes de mai 2014, afin de contribuer au lancement du grand débat public que ces élections ont vocation à susciter.

Solidarité énergétique en Europe : en route vers une Communauté européenne de l’énergie

Cette tribune de Jerzy Buzek, député européen et membre de notre Conseil d’administration, revient sur les récents développements positifs concernant la mise en place d’une Communauté européenne de l’énergie dans le cadre d’une conférence organisée en marge de la réunion informelle du Conseil sur la politique de l’énergie de l’UE, le 20 septembre 2013 à Vilnius, sous présidence lituanienne.Notre Europe – Institut Jacques Delors, l’université Vytautas et l’association Lithuanian Atlantic treaty, avec le soutien du ministère des Affaires étrangères lituanien, a organisé une conférence de haut niveau au parlement lituanien de Vilnius. L’objectif était de discuter du futur de la politique européenn de l’énergie, et la proposition politique pour une «Communauté européenne de l’énergie» de Notre Europe – Institut Jacques Delors soutenue par Jacques Delors et Jerzy Buzek. Pendant la conférence, Jerzy Buzek a délivré un discours sur les développements positifs récents concernant la mise en place de cette proposition et les voies par lesquelles l’UE se dirige vers une Communauté européenne de l’énergie.

Energy Solidarity in Europe: moving towards a European Energy Community

This tribune by Jerzy Buzek, member of the European parliament and member of our board of directors, comes back on the recent positive developments regarding the implementation of a single European energy community.Notre Europe – Jacques Delors Institute, Vytautas Magnus university and the Lithuanian Atlantic treaty association, with the support of the Ministry of foreign affairs of Lithuania, organised a high level conference in the Lithuanian parliament in Vilnius on September 20. The aim of the event was to discuss the future of European energy policy, and the policy proposal for a “European energy community” put forward by Notre Europe – Jacques Delors Institute and endorsed by Jacques Delors and Jerzy Buzek. During the conference, Jerzy Buzek delivered a keynote address on the recent positive developments regarding the implementation of this proposal and the ways the EU is moving towards a single European energy community.

Allemagne et l’UE: nouveau cycle?

Ετήσια συνεδρίαση “Notre Europe – Jacques Delors Institute” (Photo credit: AnnaDiamantopoulou)

Le verdict des élections allemandes du 22 septembre 2013 contribue à clarifier l’horizon politique européen, que Jacques Delors, Antonio Vitorino et Yves Bertoncini invitent à aborder de manière constructive, sur la base de trois constats complémentaires :
1 – La nouvelle coalition devrait être plus engagée sur les enjeux européens.
2 – La position de force des autorités allemandes doit être mieux appréhendée.
3 – Les autorités allemandes et européennes pourraient contribuer à plusieurs avancées pour l’UE.
Ils concluent ce Mot de Notre Europe – Institut Jacques Delors en soulignant que c’est parce que l’Allemagne et ses partenaires se sentiront pleinement parties prenantes d’une même communauté de destin que l’Union européenne pourra entrer résolument dans un nouveau cycle politique, économique et social.

Blueprint for a Cyclical Shock Insurance in the euro area

English: Economic and Monetary Union, map en (Photo credit: Wikipedia)

This study published by Notre Europe – Jacques Delors Institute aims at presenting in detail how a cyclical stabilization insurance fund, as it was proposed in the Padoa-Schioppa Group report, could be a solution to the problem of lacking business cycle convergence in the euro area.
Many positive steps have been made in the last four years so as to reinforce the Economic and Monetary Union’s architecture. Nevertheless, the common currency area appears still incomplete, and several EMU weaknesses put in evidence by the crisis were not addressed yet. Beyond the short term challenges, such as achieving better public and private debt positions, more growth and lower unemployment, decision makers also need to complete the EMU in order to guarantee the long term sustainability of the common currencyIn this study, Henrik Enderlein, Lucas Guttenberg and Jann Spiess outline the technical features of the proposed “Cyclical Shock Insurance” scheme as well as its economic and political implications. The authors also contrast their proposal with some other proposals that are currently discussed to tackle the issue of business cycle convergence, such as an unemployment insurance scheme. Finally, the authors run a simulation on how this scheme would have operated had it been in place during the first fifteen years of EMU and show it would not have generated unbalanced transfers between member states.

Looking for an ambitious European Migration strategy

Europe – Satellite image – PlanetObserver (Photo credit: PlanetObserver)

The synthesis by Chiara Rosselli, fellow researcher at Notre Europe, Jacques Delors Institute, of the debate organised together with the EUISS, on the 4 of July, in Paris, draws on the recommendations on EU migratory policies in the framework of the “Think Global Act european IV” Report.After having recalled the international and european context of the migratory policies and public perceptions about them, the synthesis comes back on the recommendations about an ambitious European coordination policy based on a strategic vision of the EU migratory challenges. This debate featured – Mr. Antonio Vitórino, president of Notre Europe – Jacques Delors InstituteMr. Yves Pascouau, senior fellow researcher at the European Policy Center- Mrs Florence Gaub, Middle East and North Africa expert at the European Union Institute for Security Studies- Mr. Jean-Christophe Dumont,head of division on International migration at the OECD Mrs Elvire Fabry, senior fellow researcher at Notre Europe – Jacques Delors Institute – Mr. Emmanuel Mayer, head of division on Migration and development at the French ministry of Foreign Affairs

Quels dialogues citoyens pour quelle transition énergétique?

Synthèse par Sami Andoura, Comité économique et social européen Texte intégralTexte intégral Cette synthèse de Sami Andoura, chercheur sénior à Notre Europe – Institut Jacques Delors et du Comité économique et social européen (CESE), reprend les enseignements tirés de la conférence organisée le 14 mai 2013 à Paris, avec le soutien de la MACIF, dans le cadre du Débat national sur la transition énergétique : « Transitions énergétiques et dialogues citoyens : perspectives nationales et européennes ». Cette conférence visait à présenter la proposition de Dialogues européens sur l’énergie, à souligner l’importance du volet européen de la transition énergétique et à renforcer la participation de la société civile à la gouvernance de la politique énergétique nationale et européenne pour aboutir à une Communauté européenne de l’énergie, en présence du ministre danois de l’Energie, M. Lidegaard, de l’ancienne ministre française de l’Écologie, du développement durable et de l’énergie Mme Batho et de M. Malosse, président du CESE.Cette conférence a suscité une interaction féconde entre un échelon national, celui de la France, et l’échelon européen. Elle a vocation à amorcer un dialogue permanent de la société civile au sein de l’UE en vue de reproduire un tel débat dans d’autres États membres.

Par delà la Troïka: quels clivages et quels visages pour l’UE?

Les interventions de la Troïka en Grèce, en Irlande, au Portugal et à Chypre ont engendré des dommages politiques durables pour l’image de l’UE qu’il convient de réparer ou de neutraliser. Cela implique de promouvoir un jeu politique européen structuré de manière plus visible sur des bases démocratiques classiques, à savoir sur une confrontation organisée sur la base de lignes nationales et partisanes.L’analyse d’Yves Bertoncini, directeur de Notre Europe – Institut Jacques Delors, et Valentin Kreilinger, chercheur à Notre Europe – Institut Jacques Delors se base sur trois constats principaux:
1. La crise de la zone euro a suscité un intense débat démocratique dans l’UE ;
2. Les clivages entre États membres devraient être rendus plus visibles ;
3. Les clivages au sein du Parlement européen méritent aussi davantage d’attention.
L’affirmation de ces divisions nationales et partisanes permettrait de mieux souligner que le débat sur les décisions de l’UE est plus ouvert qu’il n’y paraît. C’est aussi une bonne manière de rappeler que les critiques de ces décisions ne doivent pas être considérées comme « anti-démocratiques », mais plutôt contribuer à modifier l’équilibre des forces aux élections européennes et nationales, et donc respecter le résultat des votes.

Un nouvel élan pour une stratégie d’action extérieure de l’UE

À l’occasion de la publication du rapport « Think Global – Act European. Thinking Strategically about the EU’s External Action », Notre Europe – Institut Jacques Delors a organisé une conférence à Bruxelles le 15 mai 2013 pour présenter les recommandations de 16 think tanks européens pour renforcer l’action extérieure de l’UE.Cette Synthèse, par Chiara Rosselli, Assistante de Recherche, Notre Europe -Institut Jacques Delors, reprend les principaux éléments du débat:
1. L’UE dans la concurrence mondiale autour des valeurs ;
2. Rééquilibrer le poids économique et politique de l’UE ;
3. Quelle Europe sans soutien politique ?
Le débat a eu lieu en présence notamment de Pascal Lamy, Directeur général d’ l’OMC, Jean-Yves Le Drian, ministre français de la Défense, David O’Sullivan, Directeur général administratif du Service européen pour l’action extérieure (SEAE) et Elmar Brok, président de la commission Affaires étrangères du Parlement européen.

The EU:looking for symbols?

Jacques Delors (Photo credit: Wikipedia)

Jacques Delors Institute organised in Paris and in cooperation with EuroCité and Europartenaires the third seminar of a whole cycle about the European public space “Heading towards the European elections” around the topic “Europe: symbols and memory(ies)”.The cycle and the session were introduced by Jean-Noël JEANNENEY, President, Europartenaires and moderated by Frédéric MÉNAGER, Secretary General, EuroCité.A debate took place between:- François FORET, Member of the Political Science department of l’Université Libre de Bruxelles
– Bernard RICHARD, advanced degree in History (agrégé), former attaché culturel at the French Embassies in Chile, Equator and Egypt
– Philippe PERCHOC, Post Doctoral Fellow at CECRI, Université Catholique de LouvainThe seminar was concluded by Yves BERTONCINI, Director of Notre Europe – Jacques Delors Institute.Virginie Timmerman, research assistant at Notre Europe – Jacques Delors Institute, summarise this seminar around three main elements:
1. The EU in search of symbols and a single memory
2. European symbols of today and tomorrow
3. The absence of symbolism in a peaceful and depoliticised Europe
Notre Europe – Jacques Delors Institute, Eurocité and Europartenaires would like to thank the Representation of the European Commission in France for hosting this cycle.

Repenser l’UEM et “repositiver” la Grande Europe

Notre président fondateur Jacques Delors a prononcé le 5 juin 2013 un discours articulé autour de trois éléments:
1. les trois chocs auxquels l’UE doit faire face: des souverainetés, de la mondialisation et des erreurs humaines;
2. la restructuration de l’UEM;
3. l’Europe des Vingt-Hui
Il s’est exprimé lors d’une conférence organisée à Lisbonne par la Fondation Gulbenkian, pour marquer le lancement d’un nouveau partenariat pluriannuel avec Notre Europe – Institut Jacques Delors.